À l'analyse, plusieurs formations politiques engagées aux élections législatives et locales sont des soutiens affirmés du chef de l'État, Brice Clotaire Oligui Nguema. Aussi bien l'Union démocratique des bâtisseurs (UDB) que Les Démocrates (LD), l'Union nationale (UN), le Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM) que le Parti démocratique gabonais (PDG) ou le Rassemblement d'éveil gabonais pour l'action, la restauration et le développement (REGARD), etc.
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Dès lors, le combat lancé par le secrétariat général de l'UDB à l'encontre du PDG semble difficilement concevable. D’autant plus que ces deux formations ont noué des alliances à la députation au 1er siège du département de la Sébé-Brikolo et au 2e siège de la commune de Lambaréné. Avec ceci que l'ancien parti au pouvoir, comme susmentionné, ne cache pas ses ambitions d'être un des prochains membres de la majorité présidentielle, qu'il appelle de tous ses voeux.
Autant de faits qui prouvent que Mays Mouissi, plutôt que de vouloir occulter la réalité, gagnerait à faire montre de pédagogie en l'expliquant aux populations, tout en l'assumant véritablement . D’autant plus qu'elle apparaît être le prolongement de la démarche inclusive initiée par le chef de l'État. Une volonté d'associer, autant que possible, tous les fils et filles du Gabon, à l'oeuvre de reconstruction politique, économique, sociale et culturelle de leur pays.
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