Lambaréné : des élèves saisies de crises inexplicables au Lycée Jean-Baptiste-Adiwa

Dans le quartier tranquille de Sainte-Thérèse à Lambaréné, l'effervescence habituelle du Lycée Jean-Baptiste-Adiwa a été brusquement interrompue. Vers 11 heures, alors que les élèves retournaient en classe, un événement inattendu a plongé l'école dans la stupeur. Près de trente jeunes filles ont soudainement commencé à crier et à s'effondrer en pleine cour.

Cette scène surréaliste a laissé leurs camarades et le personnel enseignant déconcertés. Les cris ont attiré l'attention de tous, transformant la cour en un lieu de confusion. Les enseignants, tentant de garder leur sang-froid, ont rapidement pris en charge les élèves en détresse, tandis que les autres élèves observaient, choqués et impuissants.

Le directeur de l'établissement, accouru sur place, a exprimé sa profonde inquiétude face à cet événement inédit. « Nous n'avons jamais rien vu de tel », a-t-il déclaré, en soulignant la nécessité de comprendre ce qui s'est passé. Les parents, informés dans l'urgence, sont arrivés en nombre, partagés entre l'angoisse et le besoin de réponses.

L’aumônier de l'école, habituellement un soutien moral important, se trouvait hors de la ville au moment des faits. À son retour, il a exprimé sa surprise et son désir de comprendre la situation. « Je suis aussi perdu que vous », a-t-il confié, ajoutant un mystère supplémentaire à cette affaire.

Ce phénomène n'est pas isolé. Des incidents similaires ont été rapportés dans d'autres établissements de la région ces dernières années, soulevant de nombreuses questions. Quels éléments pourraient expliquer ces comportements ? Stress, influences culturelles, ou autres facteurs encore inconnus ?

Face à cette énigme, une enquête est en cours. Sociologues, psychologues et autres spécialistes sont appelés à collaborer pour tenter d’élucider ces crises. L'objectif est de diagnostiquer les causes pour éviter de futurs incidents.

En attendant, le Lycée Jean-Baptiste-Adiwa a mis en place des mesures de soutien psychologique pour les élèves et renforce sa vigilance. Les enseignants, malgré la perturbation, continuent d'assurer un encadrement bienveillant, cherchant à apaiser les esprits.

L'atmosphère dans l'établissement reste tendue, marquée par l'attente de réponses concrètes. Élèves et personnel espèrent qu'une lumière sera bientôt faite sur cet événement troublant, afin de retrouver la sérénité qui caractérisait jusqu'ici leur quotidien.